Ma chère France, où est-ce que vous êtes ? Vous êtes allée où ? Qui êtes-vous maintenant ? Qu’est-ce que vous êtes devenue ?
Je vous regarde mais je ne vous reconnais pas.
Votre liberté, elle-est où ? Qu’est-ce que vous avez fait avec votre égalité ? Quand avez-vous perdu votre fraternité ?
Depuis combien de temps vous appelez « laïcité » à la volonté du Vatican ?
Je te contemplais comme l’exemple de modernité et d’espoir pour le reste de l’Europe. Et regardez-vous-même maintenant !
Vous, qui alluma les Lumières, rampez à présent parmi les ombres.
Vous, mère de la langue de l’amour, parlez actuellement de la haine et de l’incompréhension.
Vous, berceau des Droits Universels, les refusez maintenant à une partie de vos propres enfants.
My dear France, where are you? Where have you gone? Who are you now? What have you turned into?
I look at you but I don’t recognise you.
Where is your freedom? What have you done with you equality? When did you lose your fraternity?
When did you decide to call ‘secularism’ to the Vatican’s will?
I contemplated you as the example of modernity and hope for the rest of Europe. And look at yourself now!
You, who turned on the Lights, are crawling now in the dark.
You, mother of the language of love, speak about hate and discrimination nowadays.
You, cradle of the Universal Rights, now deny them to a part of your own children.
Mi querida Francia, ¿dónde estás? ¿Dónde has ido? ¿Quién eres ahora? ¿En qué te has convertido?Te miro y no reconozco.
¿Dónde está tu libertad? ¿Qué has hecho con tu igualdad? ¿Cuándo perdiste tu fraternidad?
¿Desde cuándo llamas laicidad a la voluntad del Vaticano?
Yo te contemplaba como el ejemplo de modernidad y de esperanza para el resto de Europa. ¡Y mírate ahora!
Tú, que encendiste las Luces, te arrastras ahora entre las sombras.
Tú, madre del idioma del amor, hablas en la actualidad de odio y de incomprensión.
Tú, cuna los Derechos Universales, se los niegas ahora a una parte de tus propios hijos.